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MERCI GERTRUDE, LA GUINGUETTE MOBILE

Merci Gertrude,  La Guinguette  Mobile

Nous voulions faire des grandes fêtes, simples et généreuses, d’où l’on ressorte  un brin nostalgique et heureux d'avoir été à l'aise. L'idée de la guinguette mobile était d’encourager la proximité, qu’elle soit à manger, à boire, à danser, à discuter, à regarder ou à participer, afin que la présence des uns profite à la   présence des autres.

Nous avons choisi des places dans la ville. Des places que nous aimions ou    que nous avions envie d'aimer, Nous avons travaillé quand cela a été  possible avec les acteurs de ces lieux. Nous ne voulions pas imposer nos guirlandes    et   nos grands bals. Nous avions peur d'être intrusifs. Nous n'imaginions pas la  simplicité avec laquelle la présence de quelqu'un se fait quelque part. Et pourtant.

Nous sommes là ponctuellernent, avec notre bruit, nos couleurs, nos odeurs,   sans mur, comme ça, accrochés aux arbres comme nos guirlandes. ça chante,   ça cuisine, ça rit, c’est une salle à manger à ciel ouvert où personne et tout le  monde est invité. à la fin, on débarrasse, on plie les nappes, on traine avant  de se dire au revoir.

C’est aussi simple que ça.

Nous ne voulons pas comprendre pourquoi de multiples raisons nous   poussent à nous rendre quelque part et à y rester, se serait tenter de rationnaliser un phénomène qui ne doit surtout pas l’être.

Nous trimballons notre espace mobile dans des espaces figes, ou l'inverse, chacun le définira comme il le souhaite. L’espace public à la complexité des  choses simples, il n'a pas de sens ou autant que le nombre de personnes qui le traversent, et l'importance des souvenirs qu’on y laisse.

ATELIER D'ÉCO SOLIDAIRE

Atelier D’éco Solidaire à Bordeaux s’éveillent chaque semaine des projets alternatifs, solidaires et écologiquement durables. Les déchets encombrants débordent en milieu urbain, occupant parfois les trottoirs ou dégradant l'image d'un quartier. Ils sont pourtant le socle d'un formidable champ d’expérimentations vers la transition écologique.  Pourquoi détruire des objets ayant une valeur d'usage, alors que d'autres en auraient l'utilité ? Comment passer à une économie circulaire et durable de la réutilisation et du réemploi à partir
de ces problèmes simples du quotidien ? Quelles innovations sociales penser pour répondre à ces impératifs ? Concrètement, comment les déchets des uns peuvent-ils faire le bonheur ou l'emploi des autres ? La recyclerie créative de Bordeaux travaille pour   répondre à ces problématiques. Elle est depuis 2010 un des leviers de l'innovation sociale, frugale et de proximité dans la réutilisation de matières, objets et mobilier dont les usagers veulent se débarrasser. Par le travail croisé de salarieés, de créateurs en résidence,  de bénévoles de tous âges et de stagiaires de tous horizons, elle alimente une solide réflexion et prone un retour au «bon
sens». La recyclerie est à la fois un centre de récupération, de valorisation, de revente et d’éducation à I’environnement. Elle participe à une dynamique locale de création d'emplois, facilitant l'essor des métiers de l'artisanat, partageant les projets artistiques, faisant collaborer harmonieusement des femmes et des hommes de 17 à 77 ans, dans une ambition soutenable. C’est un état d’esprit, métamorphosant les contraintes en opportunités. C’est une source de profit durable trouvant les solutions les plus ingénieuses, même dans les circonstances les plus défavorables. Les grandes métropoles sont de plus en plus engagées dans ces nouveaux modèles d'organisations qui agissent sur la préservation de l'environnement au profit des habitants. Ces principes interpellent sur les modes de consommation, valorisent l'achat de seconde main, apportent des  solutions au plus près des personnes. Adaptées à grande échelle et  aux autres secteurs, ces innovations constituent les bases d'un  paradigme des Villes du futur.

LES CO-HABITANS

L'espace public, la participation, la ville et ses enjeux économiques

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L’Association Les Cohabitants a été créée en 2012 dans le but d'informer, de soutenir,  de former,  d'accompagner, sans discrimination, les habitants qui souhaitent être acteurs de leur quartier. Le Projet Bouge  ton Square ! en est la première expérimentation concrète.

La ville d'aujourd'hui est principalement un espace marchand.       
Un vide semble malgré tout subsister    dans un espace qu’on dit public,   un espace social. Mais est-il si vide que cela ? Est-il non marchand     ? A quel besoin répond-il ? Qu'y fait-on ? Si la notion de dedans et de  dehors est exacerbée dans notre société empreinte d'individualisme,   l'espace social, traversé et pratique par tous, est organisé autour  des sites touristiques, des commerces, en bref autour des lieux de consommation. Sans eux, le milieu urbain ne s'anime que très peu.
Arrêtons-nous un instant sur les espaces verts.
Ouverts à tous, ces espaces sont des lieux de rencontre essentiels pour
la ville. Nous voulons en faire des lieux d’expérimentation pour écrire l'histoire de la ville, pour créer des liens entre les habitants, entre les habitants et leur territoire, entre les habitants et les événements publics, hors de tout cadre marchand sur un espace-temps où les magasins sont fermés, où la ville semble s’endormir, en particulier le dimanche. Le square remplace alors le troquet du coin de la rue. Qu'y  fait-on ? On partage un café, on joue, on discute, on éveille la curiosité en s'installant avec du mobilier, des gâteaux, des ateliers animés, on reconstruit un réel espace social de convivialité, de collaboration, de vivre-ensemble, Pourquoi ? Pour créer des liens, pour créer de la participation, pour agir sur son cadre de vie, pour créer les conditions de  la participation en complément des instances de la démocratie participative. Comment ? En pratiquant sur le terrain l’éducation pour tous et  par tous, en créant des espaces libres d’éducation populaire.

MILLE ET UNE MAINS

Invitation à tricoter la Place rêvée, Mille et une mains avec Pl(utô)t rêver, interventions tricot-ludiques en milieu urbain (ITLMU)

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Mais que vient faire le tricot dans le Café en bullant de Pl(utô)t rêver dans Agora ? C'est quoi cette histoire de place rêvée ?
Interventions tricot-ludiques ça veut dire qu’on ne se prend (vraiment) pas au serieux, parce que sans rire, vous trouvez qu'il n 'y a pas assez de sujets graves ?
Alors le tricot, les arts du fil, pour nous c’est pour le plaisir (même si c'est aussi très utile ! ) celui de partager ce qu’on sait faire, avec tout le monde, et surtout apprendre de ceux et celles qui font autrement,  d'autres choses ... En milieu  urbain,  eh bien c'est  parce qu'on aime bien tricoter en dehors du canapé-télé, par exemple dans la rue. Pour  que ces activites soient à nouveau prétexte à échange.  Au fond, pourquoi la rue, les places, ne seraient  faites que pour passer,  circuler,  consommer  ?
Sur les bancs publics, les trottoirs, au café, on peut lire, écrire son courrier, travailler,  préparer la liste des courses, alors pourquoi  pas tricoter,  même à plusieurs  ?
"Tricoter sa place rêvée" :  c’est donc une  ITLMU née du constat  que la place Saint-Michel, qui est traditionnellement un espace de croisement, de rencontres, de circulation, est totalement bouleversée par les travaux en cours. Dans ce projet nous invitons les passants, chevronnés ou pas, à confectionner leurs rêves pour cette place, en 3D,  grâce aux techniques du fil. L'ouvrage collectif peut accueillir une dizaine de personnes à la fois. Le plan devient un moyen de s’exprimer de manière positive et    ludique, d'imaginer des utopies pour cette place plutôt que ruminer les     empêchements temporaires du présent : réinventer des rues, des  passages,  imaginer des jeux, des fontaines ... "Plan tricot  : La place rêvée" a été inventé par Mille et une mains  pour Chahuts 2014  (réalisation  le 14 juin Place Meynard,  car c'est  le "vrai" nom
de la place ... )

RENCONTRE SUPERVILLE

 

Réunion de collectifs, architectes, urbanistes, designers, constructeurs, sociologues, graphistes, etc. en 2013

Article de Strabic : ici

 

Crédit dessin - Saprophytes

À QUAND LA PROCHAINE RENCONTRE ?

 

ON Y ÉTAIT...

Le 26 mars, on était au débat organisé par Baobab Dealeur D’Espaces sur les mutations du quartier de Belcier. Des échanges entre les habitants, des architectes, et les membres de l’association. 

Retrouvez la suite de cette aventure  ici

Récit de la transformation d’une friche industrielle en lieu culturel

Qu’est ce que la permanence architecturale :

Ariane suit le chantier depuis 9 mois déjà, c’est comme son bébé maintenant. Elle habite sur place, d’abord dans une roulotte puis logée dans un des chambres destinées aux artistes en résidence. Réveillés tout les matins par les engins, quoi de mieux pour réellement vivre le chantier?!

Pourtant, la chose ne se limite pas à une expérience physique. Sur le chantier l’architecte de permanence a pour rôles, notamment, de: 

- tisser des relations entre tout les acteurs, clients qui occupent les lieux durant le chantier, ouvriers et visiteurs (au cOFFee, lieu de restauration ouvert à tous)

- accueillir les visiteurs (classes, voisins, curieux…) et leur faire visiter le chantier afin d’éveiller en eux l’intérêt pour ce lieu culturel en devenir.

- faire le relais entre les ouvriers et l’équipe de maitrise d’œuvre, cela permet surtout de détecter très vite un problème et de raccourcir le délais d’intervention.

-etc…

Pour suivre le déroulement du chantier c'est ici

 

VISITE DU CHANTIER DU POINT HAUT, SAINT PIERRE DES CORPS

 

Merci à Ariane pour son accueil et ses explications éclairées

Hundertwasser (1928-2000), artiste de génie, Ã©cologiste radical et adversaire farouche de la ligne droite.

 

CONSTRUIRE COMMME TU PEINTS. PEINDRE COMME TU RÊVES.

 

 

 

PATRICK BOUCHAIN.

 

 

 

Un architecte/scénographe dont le parcours et la démarche nous ont particulièrement séduit. Il inspire toute une nouvelle génération d’architectes comme l’AOA (ici).

Travaillant beaucoup sur la réutilisation des déchets et les friches, Patrick Bouchain s’inspire du ”déjà là”, matériellement et humainement parlant. Initiateur de la notion HQH (haute qualité humaine) venant concurrencer le fameux HQE (haute qualité environnementale) et redonnant ainsi sa place à l’habitant, l’artisan et l’architecte dans le projet.

 

Il est notamment connu pour son travail sur le Lieu Unique à Nantes ou son travail sur les logements à Boulogne-sur-Mer où il a mis en place une démarche participative. Longtemps méconnu, il est plébiscité ces dernières années pour sa méthode de travail basée sur la concertation et la valorisation de l’acte de construire à travers l’agence Construire (dirigée par Loïc Julienne, aujourd’hui).

  

A lire : un article publié dans le numéro 3 ou 4 de la revue Criticat où il est interrogé avec Gilles Clément (président du collectif Coloco) et où il revient sur son parcours d’autodidacte.  

 

Vous pouvez d’ors et déjà explorer son travail sur le grand ensemble ici

 

 

 

Impliquer l’habitant dans la réalisation et la gestion de son lieu de vie signifie  redéfinir l’espace domestique, et par là même réinventer l’espace public.  L’habitat et sa mise en œuvre peuvent redevenir la matrice d’un nouveau civisme : il s’agit de réinventer la responsabilité collective par la construction de l’habitat.

 

Le Grand Ensemble n’est pas une opération immobilière inventive. Ce n’est pas un chantier dans l’air du temps, avec un grain d’écologie par ci, deux pincées de social par là, et des couleurs à volonté.

 

C’est la reconsidération d’une façon dépassée et improductive de générer la ville. C’est une expérience visant à redonner à la construction sa dimension collective sociale et humaine. Faire enfin de la fabrique de la ville, le terrain d’exercice de la démocratie.  Rendre à l’habitant son rôle citoyen.

INVESTIR LE "TIERS PAYSAGE", UN VOYAGE EMPRUNT DE POÉSIE.

 

 

 

"le tiers paysage désigne la somme des espaces où l’homme abandonne l’évolution du paysage à la seule nature ( délaissés urbains ou ruraux, friches, marais, lande, lieux inaccessibles, incultes…)"

 

"Comparé à l’ensemble des territoires soumis à la maîtrise et à l’exploitation de l’homme, le tiers paysage constitue l’espace privilégié d’accueil de la diversité écologique."

 

Par ces mots et ses actes, Gilles Clément nous conduit à explorer le champ des possibles de ces espaces marginaux, biens de tous…

 

Un exemple sur les toits de la base sous marine de Saint Nazaire, où il crée un jardin en trois parties:

- le bois des Trembles (peupliers en containers reposant dans l’ancienne chambre d’éclatement des bombes),

 

- le jardin des orphins et des graminées (plantes robustes emblématiques de l’estuaire, elles apportent une vie végétale à cet ensemble minéral dont on découvre un panoramique depuis une passerelle haute). L’entretien est réduit au minimum.

 

- et le jardin des étiquettes (sur une très fine couche de substrat viennent se déposer des graines grâce au vent, aux oiseaux, aux semelles des visiteurs… deux fois par an, les plantes sont identifiées et étiquetées, d’où le nom donné à ce jardin) .

Jardins de la base sous-marine de Saint-Nazaire, Gilles Clément.

 

 

 

"CHACUN A FAIT SON DEUIL DE LA RÉVOLUTION" 

 

 

 

Dans son sens léniniste. Coup d’Etat, violence putschiste, armée de guérilla urbaine, avant-garde éclairée, etc. plus personne ne croit à ces possibilités pour changer les choses. Tant mieux. Pour autant, faire son deuil de la révolution est un luxe impossible en ces temps de libéralisme lâché comme des chiens furieux sur tous les terrains. D’où une lecture nouvelle des situations nouvelles : Foucault et Deleuze y aident. Aujourd’hui, on ne trouve plus de fascisme casqué et botté, d’où l’ineptie d’un antifascisme révolutionnaire casqué et botté. En revanche, le fascisme s’est métamorphosé : le fascisme du lion a laissé place à un fascisme de renard, rusé, moins visible, caché, dissimulé. La renardie politique (libérale) exige une contre-renardie politique (libertaire).

 

Cette alternative vit de la multiplication et de la prolifération de micro-résistances à opposer fermement aux micro-fascismes partout repérables. A situation de guerre, stratégies et tactiques de combat. Les micro-fascismes en architecture ne se combattent pas à l’arme blanche, au canon et au feu, mais avec la mircro-résistance de bâtiments de choc, de lieux manifestes. Un pavillon de biennale peut faire l’affaire – en attendant repli, déploiement ailleurs et nouveaux campements militants.”

 

Michel Onfray, « Principes de contre-renardie », in Bouchain Patrick, Construire l’architecture

AGENCE NATIONALE DE PSYCHANALYSTE URBAINE

 

 

 

Un des 8 commandements:

 

L’architecte acquiert à l’école d’architecture une formation qui est à peu près le contraire de ce dont il aurait besoin pour se préparer à la Psychanalyse Urbaine. Son attention est dirigée sur des réalités architecturales plus influencées par la physique des matériaux et toutes sortes de contraintes budgétaires que par un réel souci de traitement médical. Son intérêt pour les aspects psychiques des phénomènes de la vie urbaine n’est pas éveillé, l’étude des opérations supérieures de l’esprit ne concerne en rien l’architecture, elle est du domaine d’une autre Faculté, celle de la Psychanalyse Urbaine.

LES BIOMATÉRIAUX

 

 

 

Conférence de Patrick Bouchain sur le thème de l’appropriation.

 

 

 

"De l’installation participative au 

biomatériaux" ???

 

Membre fondateur de EXYZT s’inscrivant dans la grande mouvance des collectifs du début des années 2000, Gil Burban nous a raconté son parcours.

 

Animé à l’origine par une volonté de manipuler le réel, d’expérimenter que ce soit avec les habitants, avec la ville et avec la matière, il s’oriente très vite vers un travail de développement autour de la matière et plus spécifiquement le champignon qu’il a découvert à Karosta lors d’un projet avec EXYZT.

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Suivant les recherches de Phil Ross (artiste) ou de Paul Stamets (scientifique) il se passionne pour cet organisme et y voit des caractéristiques écologiques exploitables à l’échelle du bâtiment. Élément constituant de l’écosystème des sols, le champignon pousse très rapidement et dans le noir mais il est surtout une colle naturelle et un très bon dépolluant.

 

Il monte sa boite de recherche et développement autour de cette matière vivantes “Polypop! est un ferme d’un genre nouveau dont l’ambition vise la conception et la production de bio-matériaux innovants pour la construction et le design.”

 

http://www.polypop.fr/index.php/men-blog

 

Il s’agit réellement d’un parcours atypique et percutant. En s’ouvrant au champs de l’art puis de la science, l’architecte transcende la profession. Agent de synthèse entre des disciplines cloisonnées, il devient alors concepteur de matière physique pour construire.

Cela questionne la place de l’architecte, son rôle et surtout les limites. Finalement Gil Burban est-il encore architecte ou seulement le patron d’une boite de développement de biomatériaux à base de champignons, ou seulement un concepteur de matière?

 

Un architecte qui fait de l’art, est-ce un artiste ou un architecte ou un architecte-artiste?

 

Un architecte qui travaille avec des organismes vivants, est-ce un biologiste ou un architecte?

 

Le décloisonnement et le généralisme sont-ils l’avenir de l’architecture?

ON Y ÉTAIT...

 

Conférence de Nicolas Soulier à la maison Eco-citoyenne de Bordeaux, 5 avril 2014

 

Peut-on installer son salon devant chez soi aux beaux jours ? La loi nous y autorise-t-elle ?

 

Pl(utô)t Rêver s’interroge. Et pourquoi pas ?

 

C’est parce que nous nous intéressons à l’envers des décors et  questionnons les entre-deux que le discours de Nicolas Soulier nous touche.

 

Il explique qu’il existe des endroits au monde et même en Europe où ces doux rêves de liberté prennent forme. Les allemands, les suisses et les hollandais sont les acteurs d’une politique de l’empowerment, terme aux premiers abords barbare qui traduit l’idée de plus de pouvoir donné à l’humain, au citoyen.

 

L’espace public est une réalité citoyenne quotidienne. Entre le bâtiment et la voierie, se trouve un espace où l’on peut cheminer mais aussi s’arrêter, parler, jouer, lire si on le souhaite.

 

Il nous dit aussi que lorsqu’un riverain décide d’entretenir lui-même l’espace entre le domaine public et l’espace privé, c'est-à-dire la chaussée et sa porte d’entrée, cela fait une dépense de moins pour la commune qui financent habituellement en partie ce poste par une taxe.

Participer à la qualité de sa rue. La qualité de l’espace que l’on traverse en arrivant chez soi ou de la rue que l’on choisit d’emprunter car elle nous parait hospitalière est une donnée qui repose entre nos mains. Idée plus qu’alléchante.

Mais en pratique ça fonctionne comment ?

 

Pour mettre une jardinière devant chez soi ou enlever une couche de bitume afin de refertiliser le sol, en France, il faut demander une autorisation à la mairie. Autorisation qu’il est souvent très difficile d’obtenir. Quand une association d’habitants prend la parole au nom d’un groupe, cela a déjà plus de poids. Alors que nous manque-t-il à nous français ? un peu d’ouverture d’esprit, de cohésion, d’entraide ou bien d’entraînement... Une petite dose de chaque ingrédient. Explorons les déclinaisons. La recette, même si elle n’est pas respectée à la lettre, fera toujours un bon gâteau.

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